Risques IA en entreprise : urgence au Royaume-Uni pour mieux gérer la cybersécurité

L’IA occupe désormais toutes les sphères ! Alors que son potentiel grandit rapidement, trop d’entreprises progressent sans orientation claire. Une récente étude britannique révèle que près d’un tiers des sociétés au Royaume-Uni ont déployé leur première stratégie de gestion des risques liés à l’IA seulement récemment.

Et 31% n’ont pas du tout instauré de politique de gouvernance sur ce sujet. Est-ce inquiétant ? Oui, et ce n’est que le début. Voici l’essentiel.

Cybersécurité & IA : un mélange à risques élevés

Des menaces qui progressent rapidement

Reconnaître que l’IA constitue une menace importante pour la cybersécurité s’avère nécessaire. Cependant, beaucoup d’entreprises s’arrêtent à ce stade ! En conséquence, elles restent fortement vulnérables aux failles, fuites de données et sanctions réglementaires parfois sévères.

Selon l’enquête, seulement 18% des organisations sont préparées à des attaques de “data poisoning”, où des pirates compromettent les données pour tromper l’intelligence artificielle. Sur les deepfakes et le clonage d’identité, la situation est plus préoccupante : 16% des entreprises avouent ne disposer d’aucun plan pour faire face à ce type d’incidents.

Les nouvelles menaces alimentées par l’IA exigent une révision complète de la sécurité. Au-delà des attaques avancées, la capacité de réaction rapide devient indispensable.

Or, de nombreuses organisations accusent un retard important.

Une absence de gouvernance persistante

Ce décalage s’explique souvent par un manque d’expertise et d’outils adaptés. Déployer une gouvernance de l’IA ne se limite pas à un enjeu technique : des politiques claires, une formation continue et une vision stratégique s’imposent.

Cependant, entre la crainte de freiner le progrès et celle d’être victime d’une faille majeure, de nombreux dirigeants demeurent bloqués.

• ➡️ Avantage : plus de flexibilité dans l’usage de l’IA
• ❌ Inconvénient : prise de risque accrue sur la cybersécurité

Innovation et prudence : un dilemme délicat pour les entreprises

L’adoption de l’IA freinée par la crainte ?

Cet équilibre demeure particulièrement complexe. Le souhait commun demeure de profiter de l’IA pour accélérer la croissance, mais la peur — justifiée — d’exposer l’organisation à des incidents majeurs freine souvent les avancées.

Ce paradoxe : plus l’IA se généralise, moins on ose progresser sans des solutions fiables garantissant le contrôle.

Ce paradoxe ralentit fréquemment l’émergence de nouvelles technologies. Une entreprise sans stratégie claire préfère retarder l’adoption au risque d’être dépassée par la concurrence.

Ce défi concerne particulièrement les PME qui manquent de ressources internes spécialisées.

Une gouvernance mondiale fragmentée

Autre complexité : les cadres réglementaires changent fortement d’un pays à l’autre, voire entre secteurs. Par exemple, l’Union Européenne impose des règles strictes (NIS2, DORA) pour les secteurs sensibles, tandis que les États-Unis et le Royaume-Uni renforcent progressivement leurs exigences, comme l’obligation imminente de reporter tout incident de ransomware.

Il devient impossible de gérer les risques sans adaptation précise ! Les outils doivent correspondre à chaque contexte, faute de quoi la conformité se transforme en véritable parcours du combattant.

CyXcel : centraliser tous les risques digitaux via un seul tableau de bord

Présentation de la solution DRM de CyXcel

Face à la complexité croissante du risque cyber et de la gouvernance en IA, CyXcel propose une option intéressante avec sa plateforme Digital Risk Management (DRM).

Leur objectif : offrir une vision globale des risques digitaux (cyber, IA, chaîne logistique, enjeux réglementaires…) avec un pilotage centralisé via un tableau de bord.

En pratique, cela implique :

• ✅ Une évaluation continue des menaces et tendances
• ✅ Des conseils stratégiques (cyber, juridique, technique)
• ✅ L’automatisation des tâches de conformité avec des alertes personnalisées
• ✅ Un soutien pour la gestion des litiges et incidents numériques
• ✅ Une adaptation aux exigences locales (NIS2, DORA, UK, etc.)

Destinataires et besoins couverts

Le principal atout : cette solution cible en priorité les organisations sans équipe nombreuse d’experts en cybersécurité ou en juridique. Le tableau de bord vise à simplifier la gouvernance, centraliser les politiques et faciliter la prise de décision rapide – un levier pour renforcer la confiance tout en maintenant l’agilité.

De plus, CyXcel est intimement lié à ces défis (ils appliquent leurs propres recommandations) et ne se limite pas à un simple rôle de consultant. Cette implication confère un sérieux avantage sur le marché.

Faut-il tout concentrer sur la gestion du risque IA ?

Construire une stratégie solide de gouvernance de l’IA n’est plus un simple avantage optionnel. Elle devient indispensable pour exploiter pleinement les technologies sans transformer l’entreprise en un risque numérique incontrôlable. La proposition CyXcel DRM mérite une attention particulière, surtout pour celles et ceux qui souhaitent se mettre à niveau rapidement tout en couvrant plusieurs exigences réglementaires.

Sans une politique claire, des outils adaptés et une vision stratégique, le pari de l’IA apparaît perdu d’avance. En revanche, cette technologie peut devenir un moteur puissant de transformation… à condition de ne pas ignorer les risques associés.

Quels choix adopterez-vous pour que l’innovation ne signifie pas insécurité ? 🤔

Simone

Simone, rédactrice principale du blog, est une passionnée de l’intelligence artificielle. Originaire de la Silicon Valley, elle est dévouée à partager sa passion pour l’IA à travers ses articles. Sa conviction en l’innovation et son optimisme sur l’impact positif de l’IA l’animent dans sa mission de sensibilisation.